Retour de la mère des origines, ou mère cosmique
Depuis quelques mois, je reçois des visions et des messages annonçant le retour de la mère des origines, ou mère cosmique, et même connue sous le nom de mère des dragons.
J'ai longtemps hésité à communiquer à ce sujet!
La peur d'accentuer mon étrangeté aux yeux de certains, de faire peur aux autres, et surtout, de divaguer. Il faut être sur le chemin juste avant que de partager ou de parler, de quoique ce soit.
Puis en partageant avec d'autres bien reliés à la source, ce que je recevais, nous nous sommes rendus compte que nous les avions en commun, ces annonces cosmiques.
Pour certains, sous forme de visions, d'autres de messages, d'autres des dessins et des messages se matérialisant en écriture guidée ou dessins guidés, authentifiés par la guématrie ( encodage chiffré des messages où l'on retrouve la même valeur numérique des messages, une fois encodés par les nombres)!
Et que recevons nous:
La mère des origines, la déesse primordiale, la créatrice qui fut ensemmencée de l'esprit et qui donna forme à la matière dont nous sommes les fruits, les enfants, est de retour pour nous aider dans ces temps dits d'Apocalyse, ou le temps de la Vérité révélée.
Les vérités sur ceux que nous sommes, sur qui nous sommes et sur ce que l'on a fait de cette humanité divine végétant depuis des siècles dans un marasme sans nom. L'enfer sur terre avant de découvrir le paradis, sur terrre bien sur!
Certain l'on appelée Barbelu, d'autres Ishtar, d'autres Isis, d'autres mère tout simplement, c'est ainsi que je la nomme et qu'elle s'est montrée à moi!
Je l'ai vu nous offrir la possibilité de créer le monde à notre image, selon les pensées de nos coeurs.
Nous sommes le calice, le graal, la coupe qui reçoit la vie et nous pouvons créer notre monde avec cette divine essence qui nous anime.
Il est d'une grande responsabilité d'avoir un tel don car, la pensée crée, les mots créent et il est temps de d'affirmer: Je suis ce que je crée, en tout alignement avec le plus haut but, la plus noble mission ( phrase d'une formidable femme-sage Claudia, humble et forte, et fidèle à l'honneur des traditions qu'elle véhicule et transmet)
La mère des dragons, qui sont qui crachent le feu bleu de la vie, le feu bleu qui détruit les mensonges, le feu bleu qui purifie, le feu bleu en lien avec le Soleil, avec le buissons ardent de la Bible.
Les dragons sont aussi la vouivre, la forme énergie qui fait gronder la terre et surgir de ses entrailles malmenées, le renouveau de ses terres.
les Dragons font naîtres les oeufs cosmiques ( définition dans le dictionnaire des symboles de Jean Chevalier et Alain Gheerbrant et consacré à la symbolique des mythes, rêves, coutumes, gestes, formes ) qui sont les porteurs des germes de la création.
Et j'ai vu que les femmes, incarnations des particules humaines de la mère des dragons, avaient en leur tête, un oeuf blanc sur le point d'éclore.
Cette symbolique signifie que le féminin ( y compris je l'éspère inclu dans ceux qui sont nés hommes) possède cette capaciter d'engendrer selon sa pensée pure, ce que le coeur désire en toute pureté, et que la matière transmute alchimiquement en forme crée.
La présence de la mère cosmique réveille en chaque un et une ( ceux ayant auparavant uni en soi, par la voie juste, les aspects sombres et les aspects lumière) le potentiel de création.
Un peu comme l'approche de sa mère, réveille l'enfant affamé,
comme les fleurs et les oiseaux, présentant l'aube, frémissent et s'éveillent à la vie dès les premiers rayons du soleil posés sur eux.
Elle irradie d'amour et de force, et nous la recevons à conditions de l'accepter.
A nous de dire " j'acceuille, je reçois, je m'harmonise pleinement et complètement avec ces énergies"
et alors s'éveille en nous, l'impatience, les doutes (pour ceux non encore unifiés en eux-même), la certitude du changement effectif, et le monde meilleur vers lequel nous tendons à l'infini, ce pose en germe, maintenant.
Merci à la mère des origines de nous soutenir et de veiller sur nous, ces enfants, de faire pousser les bonnes graines, au milieu de l'ivraie, et de garder en nous, la foi pure, d'aimer et de porter l'espoir et la lumière au plus sombre de nos parts d'être.