Qui suis-je?
Nathalie Théaux,
Communicatrice au service de la voix de l'être et de la vie
Une petite présentation de ce qui m'a guidé?
Pendant longtemps à qui me demandait ce que je faisais dans la vie, je répondais «mère au foyer».
Je suis née le 11 mars 1966 sous le double signe du poisson et cheval de feu. L’eau unie au feu!
Que me promettait cette âme qui d’emblée utilisait l’alchimie magique des éléments pour mener à bien son projet?
Lors mon arrivée au sein de ma famille, je ne voulais plus naître mais les forceps furent des plus efficaces et les prénoms Nathalie Françoise Madeleine-Renée estampillé sur ma généalogie, je fus déclarée apte au service de la vie.
A 1 mois entourée de mes parents bien choisis, je vivais dans une petite maison d’Arzew, village côtier d’Algérie, d’où jadis Jules Verne guettait «le rayon vert»
Mes trois premières années furent riches d’enseignements...pragmatiques. En effet, dès que je sus marcher, j’explorais la terre bien ferme, assurément. Une sévère chute de plus de 3m depuis la terrasse m’avait démontré que je ne volais plus aussi bien qu’avant et sans un atterrissage adoucit par immense matelas posé là par mon père, mon retour au ciel aurait été rapide. Le père m’ancrait à la terre.
Plus tard, les vagues m’ont avalées depuis la plage ou je pataugeais et je me souviens très bien de m’être noyée en tournoyant dans un tube d’eau, sans fin. La mer en me refoulant me redonna à la terre, à ma mère.
A mes 3 ans, la famille s'installe à Bagdad, entre le Tigre et l’Euphrate, berceau mésopotamien de l’humanité. Terre d'accueil de nos ancêtres, créateurs venus d’ailleurs...Elohim créant les Néphilim. Parfait lieu pour y remonter l’essence des temps, se remémorer les premières circonstances de notre vie terrestre et sans le comprendre à l’époque, débuter ma quête sacrée.
Le jeu de la vie est d’une précision si cartésienne, servie d’intuition et de guidances diverses, comment ne pas s'émerveiller de la sagesse infinie de la création à laquelle j’adhère avec amour.
Le libre arbitre ne serait-il qu'apparent? Libre choix de notre âme certes mais prononcé bien avant L’Incarnation et toujours fidèle au plan choisi par l’Esprit.
L’amnésie programmée à chacune de nos renaissances dans le plan matériel nous pousse à errer le long de ces parcours destinés à nous rafraîchir les mémoires.
La cruauté de nos destinées n’est qu’apparente et les malheurs qui nous frappent sont autant de chocs en retour de nos actes et vies passées. A décoder, transmuter, pour s'en libérer et s'élancer.
Et pour conclure cet aperçu destiné à faire connaissance un petit clin d’oeil de ce que je souhaite à chacun sous forme de prose joyeuse...
«J’arrive à Etre,
fini d’attendre,
jusque là bien au chaud dans la tiède douleur
d’une vie de failles avec écailles
Par delà les absences, par delà les temps et les haltes
par delà les sens
J’y arrive!
J’y arrive et alors?
Alors rien?
Alors tout!
Alors peut-être que ce n’est rien mais Etre est déjà tout.
Alors j’arrive à être, et voilà tout,
Qui n’est pas rien»